Revue de presse - Piercing Interdit

Revue de presse - Piercing Interdit

Le punk est mort, vive le piercing ! Enfin, un néopiercing délesté de toute forme de contestation pour devenir un des attributs de féminité les plus courus actuellement.

« Il invite à renouer avec le corps, à le mettre en valeur et le ­sublimer », commente Rivka ­Nahmias, ­joaillière parisienne connue pour sa joaillerie spirituelle et qui vient de lancer sa marque « Piercing interdit ».

Cette ­nouvelle manière de se l’approprier est née dans l’appartement de la New-Yorkaise Maria Tash.

Adepte de la culture trash, elle a été la première à ­raffiner cette coutume à tendance SM.

Très inspirée aussi par l’art indien du bijou, elle a transformé les clous d’acier en petites pièces précieuses où l’or côtoie la perle, l’opale et les diamants et a inventé le curated ear, une technique de montage qui permet de combiner un anneau avec un clou ou un charm, soit de jouer à fond la personnalisation de ses lobes d’oreille.